Tosha Callaway

Originaire de Stanstead, une petite ville située à la frontière du Vermont, Tosha Callaway obtiendra bientôt son baccalauréat en beaux-arts et en anglais, avec des concentrations en cours de studio et en littérature.

Tosha a décidé d’enrichir le tout dernier semestre de son diplôme en entreprenant une résidence d’artiste au Laboratoire communautaire d’art (ArtLab) de la Galerie d’art Foreman.

Ses médiums préférés sont la peinture acrylique et le dessin. Elle aime superposer, glacer et estomper la peinture, tandis que sa pratique artistique aborde des concepts tels que la nostalgie, l’intertextualité et la fugacité.

Elle rêve d’une carrière tripartite en tant qu’artiste professionnelle, conservatrice et professeure.

Maïthé Cyr-Morin

Dans sa quatrième et dernière année d’études en beaux-arts, Maïthé Cyr-Morin se sert de l’autofiction pour explorer des thèmes tels que le visible, l’invisible, l’imaginaire et la vérité.

Sa pratique de la gravure, de l’art textile et de la fabrication de livres lui a valu de recevoir la bourse Wanda Rozynska et le Rozynski Opportunity Fund, une récompense accordée à un·e étudiant·e méritant·e en beaux-arts à l’Université Bishop’s.

Maïthé est originaire du territoire traditionnel et non cédé du peuple abénaki et aspire à travailler comme éducatrice d’art dans les musées.

Emma Huebchen

Née à Comox, sur l’île de Vancouver (C.-B.), Emma Huebchen terminera bientôt son baccalauréat en enseignement au secondaire, avec une spécialisation en beaux-arts. Après l’obtention de son diplôme, elle prévoit devenir professeur d’art à temps partiel dans une école secondaire tout en nourissant sa pratique artistique personnelle en créant et en vendant des œuvres d’art.

La pratique d’Emma tourne autour du corps humain et de ses distorsions. Elle joue avec des palettes de couleurs complémentaires et explore ses propres émotions et expériences, ainsi que celles des autres, en utilisant des marqueurs acryliques et des aquarelles sur papier, ou de l’acrylique sur toile.

Majd Shammas

Déraciné par la guerre qui sévit actuellement en Syrie, Majd Shammas est arrivé au Québec en 2015, et il entreprend actuellement sa deuxième année en beaux-arts avec une concentration en cours de studio, ici à Bishop’s.

Il utilise l’encre, le fusain, l’acrylique et les pastels imbibés d’huile comme médiums pour explorer les concepts qui l’inspirent, comme les hallucinations et les réalités tendues, les réflexions existentielles et les incertitudes.

La pratique et le travail de Majd se distinguent : il a récemment reçu la bourse Florence May Foreman et la bourse Peggy and David Savage Memorial du département des beaux-arts de l’Université Bishop’s.